Dans une ruelle ésotérique vénitien, où les eaux tristes des transitaires reflétaient la clarté vacillante des lanternes, une tisserande travaillait avec une minutie hors du commun. Ses mains habiles exerçaient varier les fils d’or et d’argent sur son poste de travail, réalisant des étoffes d’une éclat inégalée. Mais ce n’était https://edwinpeovb.azzablog.com/33949466/les-fils-du-présent