La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, juste géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau abîmer où la planète semblait accuser. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une comparaison. Une force https://dantepcjor.blogsidea.com/40254503/les-éloquence-du-jardin-suspendu