Le soleil s’écrasait sur les perles blanches brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient parallèle à la carcasse rouillée d’une vieille cabine téléphonique. Posée seule au lisière d’une promenade oubliée, elle ne figurait sur aucune carte officielle. Pourtant, tout dimanche à midi, une sonnerie https://rylanvgmqr.blogripley.com/34579718/la-avertissement-effacée