Au cœur des ruelles labyrinthiques de Makoko, quartier flottant de Lagos, les voix se mêlaient aux klaxons, aux cris des responsables, aux sons métalliques des barques qui s’entrechoquaient. Là, tout s’échangeait : marchandises, secrets, rumeurs. Et c’est dans cette cacophonie vivante qu’Abeni installa son modeste ressort, par-dessous une toile décolorée, https://meilleur-voyance-gratuite09741.isblog.net/le-marché-des-parole-51176050