Istanbul respirait lentement par-dessous la température du Bosphore, ses paysages chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un atelier inexploré entre les colonnes d’un ancestral caravansérail, une masculinité aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à bien l’aide de fragments de cristal, d’os polis, et d’ivoire récupéré. Chaque monnaie https://jaideniymzm.blogozz.com/33201072/la-espace-et-l-ombre