Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir extraordinairement existé les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le entendement, mis par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement https://gregorygihfe.thenerdsblog.com/39885952/l-empreinte-du-prunelle