À Orléans, en l’an 2222, le lieu ne vibrait plus que par-dessous le chant grave des machines. L’air lui-même semblait scellé dans un indissoluble silence de métal, rompu rien que par le chuintement des véhicules autonomes et les murmures codifiés des interfaces holographiques. Dans ce décor ultramoderne, un endroit jurait https://jaredsiugr.blognody.com/36119388/le-réseau-des-effacés