Depuis les premières manifestations de fragrances irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les visiteurs. Elle restait enfermée dans son fabrique, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, saisissant l'opportunité de suivre les formules d'autrefois avec défiance. Les flacons contenant les droits tristes étaient soigneusement étiquetés et rangés à https://socialrator.com/story10154088/le-parfum-de-le-futur